Tomas Jensen

Avec le groupe Les Faux Monnayeurs, puis en solo, il compose dix albums dans lesquels il est aussi chanteur et guitariste.

Entre 2000 et 2006, il compose cinq albums avec Les Faux Monnayeurs et donne plus de 800 concerts au Québec, en France et au Yukon. Sa musique est alors considérée comme festive et ses paroles, essentiellement en français et parfois en espagnol, sont qualifiées d’engagées3.

En 2008, il lance un sixième disque, Quelqu’un d’autre, en solo, réalisé par François Lalonde (Jean LeloupLhasa de SelaDobacaracol). Sa musique d’alors puise dans des influences électro et expérimentales, ses textes sont, quant à eux, plus introspectifs.

En 2010, sous le label L-A be (Let Artists be), il enregistre l’album Hay que subir avec Hombre, qui gagnera le prix album world de l’année au GAMIQ et sera nominé dans cette même catégorie au gala de l’ADISQ.

Il retourne ensuite à sa carrière solo et sort, en 2012, un disque expérimental, moitié électro moitié acoustique, autoproduit, arrangé et réalisé par lui-même : Face A Face B, qui est un hommage à Caetano Veloso. En février 2012, Tomás Jensen lance un autre album solo, Plus personne, qu’il co-réalise avec François Lalonde. Il voyage en Argentine début 2015 pour enregistrer l’album, « Retour », avec des musiciens Argentins, dont le saxophoniste Damian Nisenson qui co-réalise l’album. Un documentaire, présenté au FIFA (Festival International de Films sur l’Art)  et réalisé par Martin Bourgault sera tiré de ce voyage. L’album sera nominé à l’ADISQ et au GAMIQ 2016 dans la catégorie album de l’année – musique du monde.